Livre blanc disponible en français

15 NOVEMBRE 2021                                                                         Disponible en français

LIVRE BLANC SUR LA GUERRE DU KARABAKH
&
LES OPTIONS DIPLOMATIQUES ET SÉCURITAIRES DE DEMAIN

La guerre de septembre 2020 a mis en évidence de nombreuses faiblesses dans les positions et les politiques de l’Arménie. Après huit mois de recherches et de consultations approfondies, le Livre Blanc, d’abord publié en anglais sous le titre: « The Karabakh War of 2020 and Armenia’s Future Foreign and Security Policies » puis largement diffusé et lu en Arménie dans sa version arménienne, est désormais disponible en version française sur le site de la fondation: Armenian Peace Initiative (voir les liens ci-dessous)

Il explore en profondeur les lignes de faille qui ont conduit à la guerre et à la défaite. Il précise l’environnement militaire et géopolitique dans lequel l’Arménie a fonctionné depuis son indépendance et formule des recommandations sur les choix et les réformes à venir. Pour en faciliter la lecture Il est accompagné d’une synthèse, d’une table des matières interactive et d’annexes et appendices originaux

L’objectif de ce document est de proposer des analyses des problèmes passés et des options futures de manière systématique. Il invite à un débat public fondé sur des réalités, séparant les faits des opinions, les arguments rationnels des préjugés, les considérations stratégiques des constructions idéologiques. Ce faisant, les auteurs espèrent encourager le débat public, mais aussi aider ceux qui détiennent l’autorité à repenser les questions lors avant la formulation de nouvelles politiques diplomatique et de sécurité nationale.

Basé sur les opinions de quelque 45 experts et analystes arméniens du monde entier questionnés sur les causes, le déroulement et les conséquences de la guerre, les trois auteurs mettent en garde contre le prolongement de la situation de guerre permanente qui pénètre l’Arménie depuis plus d’un an. Ils présentent des recommandations pour sortir le pays et sa population de cette situation désastreuse et préconise la voie du dialogue directe avec tous ses voisins, sans oublier des réformes en profondeur des forces armées et des approches de la sécurité. 

Les auteurs sont:

Taline Papazian, politologue, enseignante à l’université d’Aix-Marseille et Présidente de l’Armenian Peace Initiative, 

Robert Aydabirian, ingénieur en génie atomique, ancien dirigeant d’entreprises internationales, fondateur de l’Observatoire arménien, 

Jirair Libaridian, historien, ex-professeur de l’Université d’Hartford Michigan, et principal conseiller diplomatique du Président Levon ter Petrossyan de 1991 à 1998.   

Le lien vers le texte en français:        tinyurl.com/3sv5csnv

Le lien vers le texte en anglais:         tinyurl.com/jt8zaxua

Le lien vers le texte en arménien:     tinyurl.com/btzcu5n6

Toute demande de renseignements doit être adressée à: info@armeniapeace.org

Cadeaux de fin d’année

Faites découvrir le vin arménien à vos partenaires et clients !

Opusmeg nous propose une offre avantageuse sur la gamme Karas, avec des paquets de 1 à 3 bouteilles, en coffret carton accompagné d’un livret découverte et d’une oeuvre originale du peintre Sarkis Hamalbashyan.

Les vins proposés :

Tales of 2 Mountains – Un charnu d’Arménie à la gourmandise infinie

Deux montagnes, une terre sacrée qui donne naissance à cette belle union de nouvelles saveurs et d’une culture millénaire. La vallée de l’Ararat offre les conditions idéales pour nous offrir un vin issu du cépage local et ancestral, l’Aréni sublimé par l’apport du malbec. Le vin est superbement charnu, réglisse, aux flaveurs de myrtilles, de cassis, de framboise, de mûre. Sans fin…

Karas Areni Classic – vin rouge – mon cépage Aréni (cépage autochtone)

Joli vin très aérien, sur la prune et la cerise, les notes florales, les épices et une légère touche fumée. La bouche éclate de fruit, ample, déployant une matière pulpeuse, aérienne, gourmande, affichant une belle fraîcheur avec des nuances fumée et toastée. Bel équilibre, avec une sensation de fraîcheur diffuse. La finale est savoureuse, avec une persistance sur les épices et la craie.

Karas Blanc – vin blanc – assemblage Kangun (cépage autochtone), Viognier et Chardonnay

Un joli blanc bien expressif, sur les fruits exotiques avec des nuances citrique et pierre humide. La bouche est magnifiquement équilibrée, séduit par sa délicatesse, sa fraîcheur et sa perception aromatique progressive. Elle démarre par une attaque fraîche, éclatante, avant de déployer une matière ronde. La finale prolonge les sensations, alliant les fruits blancs.

Karas Extra Brut – pétillant – Rkatsitelli (cépage autochtone)

Un pétillant présenté la Cité du Vin de Bordeaux, c’est tout dire …

Karas Areni Sireni–vin rouge– assemblage de 2 cépages autochtones- Aréni et Siréni – vinification en amphore

Bel assemblage de deux cépages autochtones Arméniens. Le bouquet explose par son intensité aromatique. Aux notes subtiles de fruits rouges (cerise, griotte, cassis) s’associent de belles notes florales (violette, rose) et printanières. La bouche est à la fois fine et intense, délicate et brutale, fraîche et solaire avec des tanins caressants. L’ensemble est très équilibré, sapide et suggère un vin d’une excellente conception.

Karas Areni Reserve–vin rouge– Aréni (cépage autochtone)- vinification en amphore

Vin élégant avec des notes herbacées, moyen + corps avec des tanins ronds et doux. Bon potentiel de garde.

Les packs proposés :

PackNb bouteillesContenuTarif H.T.
11Karas Extra Brut14,40 € 
21Karas Areni Sireni18,40 € 
31Karas Areni Reserve22,40 € 
42Tale of 2 Mountains – Rouge & Blanc18,90 € 
52Karas Areni Classic , Extra Brut23,90 € 
62Karas Areni Sireni, Areni Reserve36,90 € 
73Karas Areni Classic, Blanc Classic, Extra Brut32,70 € 
83Karas Areni Sireni, Blanc Classic, Extra Brut37,70 € 

Vous pouvez aussi commander en ligne sur le site Hamov

Rodolphe Barsikian bientôt à Erevan

AU THÉATRE SUNDUKYAN, UNE EXPÉRIENCE 100% IMMERSIVE AVEC RODOLPHE BARSIKIAN
Après avoir dévoilé à Paris le mois dernier une première collection d’œuvres disponibles en NFT, c’est en Arménie, à Erevan, que Rodolphe Barsikian présentera bientôt ses dernières œuvres  dans une exposition en totale immersion, mêlant numérique et installations. 

Du jeudi 25 novembre au dimanche 12 décembre 2021, cette exposition d’un nouveau genre s’installe au Théâtre Académique d’État Gabriel Sundukyan à Erevan. Sous l’égide de l’Ambassade de France de la capitale arménienne, elle sera relayée par l’Institut Français dans le cadre de la 5ème édition de son événement Novembre Numérique 2021.

De son travail sur ordinateur à l’œuvre physique (tableaux, sculptures, retables…) pour sa première exposition en mars 2021, puis vers la vidéo et maintenant les NFT, Rodolphe Barsikian poursuit sa « VIE DIGITALE » avec cette nouvelle exposition imaginée comme un parcours 100% immersif.En revenant aux sources d’une identité dont les influences jalonnent son œuvre, cette présentation à Erevan est symboliquement une étape forte du parcours international qu’il entame.

La première promotion de RELQ a démarré ! 

Hier, le 3 Novembre 2021, 25 Arméniens et Arstakhiotes ont pris le chemin de l’école avec pour projet commun de devenir développeurs web et mobile en 6 mois.

L’équipe de ce beau projet avait fait de l’inclusion l’un de ses piliers, la promesse est aujourd’hui tenue. En effet, sur les 25 apprenants nous comptons 14 femmes et 11 hommes, de 20 à 58 ans, d’Arménie et aussi d’Artsakh (Hadrut, Ukhtadzor, Talish, Martuni, Stepanakert, Qashatagh), civils et militaires.
Leur résilience et leur motivation sont incroyables, et renforcent à elles-seules la raison d’être de RELQ. Comme une évidence d’autant plus forte qu’elle se concrétise.

Ces 1ers « relqetsi » sont encadrés par une équipe de formateurs expérimentés en Arménie et parrainés par Stéphanie Zarigian (Intuit) et Arié Van Bennekum (co-auteur et signataire du Manifeste agile : une référence pour les connaisseurs !)

Merci encore à tous ceux qui ont soutenu ce projet, que ce soit en faisant un don ou en apportant leur aide et leurs idées, ainsi qu’aux premiers sponsors : Armenian Peace Initiative, Amundi-ACBA, Fonds Arménien de France, Astrakhan Consulting. Vous pouvez toujours participer à l’aventure en faisant un don direct à RELQ.

Si vous souhaitez en savoir plus, ou simplement discuter avec l’équipe désormais répartie entre Erevan, Paris, New York et Los Angeles, ils vous donnent rendez-vous à la fin du mois pour une nouvelle session Kessanemeg LIVE en visio.

L’équipe RELQ a eu le plaisir de converser via écran avec toute la promotion réunie dans un café à Yerevan :

Retourner à Sölöz

Le nouveau film de Serge Avedikian est présenté à Paris et en province, à partir du 17 novembre, avec un impressionnant programme de rencontres (voir ci-dessous).

Les sujets que le film aborde sont multiples mais surtout ils peuvent permettre de parler de la démarche sur le temps de la mémoire de l’enfance à l’âge adulte lorsqu’une perte importante a été vécue. 

Pour avoir plus d’informations sur les salles et horaires, le site Films d’ici et pour voir la bande annonce, rendez vous sur Vimeo.

Programme des rencontres-débats au Saint André des Arts:

Novembre 2021

Le mercredi 17 : Anouche Kunth (Chargée de recherche, CNRS) et Serra Yilmaz (Actrice, à Istanbul, Strasbourg, Florence, Paris, Rome)

Le jeudi 18 : Hande Topaloglu Hartmann (Diplômée Science Po, Filmer la mémoire: une recherche sur les représentations cinématographiques du génocide des Arméniens dans le cinéma de Turquie)

Le vendredi 19 : Guillaume Perrier (Journaliste et écrivain, spécialiste de la Turquie)

Le samedi 20 : Cengiz Aktar (Universitaire, journaliste et écrivain)

Le dimanche 21 : Hamit Bozarslan (Historien et politologue, spécialiste de la Turquie et du Moyen-Orient) et Burçin Gerçek (Journaliste, écrivaine, AFP-Ankara)

Le lundi 22 : Claire Mouradian (Historienne, directrice de recherche au CNRS)

Le mercredi 24 : Aude Merlin (Université libre de Bruxelles (ULB), écrivaine, spécialiste du Caucase et de la Russie) et Tigrane Yegavian (Journaliste, écrivain, spécialiste du Moyen-Orient et du Caucase)

Le jeudi 25 : Umit Metin (Président de l’Association Acort)

Le vendredi 26 : Robert Guediguian (Cinéaste et producteur) et Sibil Cekmen (Doctorante et chargée d’enseignement à l’Université Lumière)

Le samedi 27 : Ahmet Insel (Universitaire et écrivain) et Michel Marian (Universitaire et écrivain)

Le dimanche 28 : Elena Gabrielian (Journaliste RFI)

Le 29 lundi : Raymond Kevorkian (Historien et écrivain) – Sedef Ecer (romancière, auteure dramatique, scénariste et metteuse en scène franco-turque.)

Décembre 2021

Le mardi 7 : Gorune Aprikian (Producteur et réalisateur) et Pinar Selek (Sociologue, écrivaine, militante antimilitariste et féministe) 

Le mardi 14 : Anne Consigny (Actrice et réalisatrice)

« Portes du paradis », un film sur la guerre de l’Artsakh, récompensé lors d’un festival international

Le film Portes du paradis du réalisateur arménien Jivan Avetisyan a été désigné meilleur au Festival international du film de l’Ontario (Canada) dans 4 catégories : meilleur son, meilleure musique, meilleur scénario, meilleur film international.

Un film dramatique sur la guerre de l’Artsakh, qui se déroule en 2016. Le film a été réalisé par Jivan Avetisyan. Il a été tourné en Arménie, en Artsakh et en Lituanie. Les pays producteurs sont l’Arménie, la Lituanie, l’Allemagne, la France, les États-Unis, la Bulgarie, la République tchèque et l’Italie. Le caméraman lituanien Rytis Kurkulis était le caméraman principal du film. Dans le film, l’image du chanteur d’opéra Jean Bernard est incarnée par le célèbre acteur lituanien Leonardas Pobedonoscevas.

Synopsis : Robert Sternvall est un célèbre journaliste allemand qui retourne en Artsakh en 2016 pour couvrir les événements de la guerre qui vient d’éclater après un cessez-le-feu de 22 ans. Lors d’une mission de journalisme d’investigation, il rencontre la jeune chanteuse d’opéra Sophia Marti. La communication et les fréquentes rencontres entre Robert et Sophia éveillent des sentiments mutuels. Cependant, il s’avère par la suite que Sofia est la fille d’Edgar Martirosyan, un photojournaliste disparu qui a été capturé lors de la prise du village de Talysh en 1992, que Robert n’a pas tenté de sauver de la captivité et dont il a ensuite fait passer les photographies, prises sur le champ de bataille, pour les siennes.

« Portes du paradis » a été présenté en première en Arménie et en Artsakh en 2019.

Source : Le courrier d’Erevan